5
Déc
Courage, avec le premier, tu peux au moins te dire que quand il dort, tu peux dormir … Alors profites-en!!
Ouais, un nouveau post !
Moi pendant qu’il dormait je lui cherchais une nounou… Et j’ai été heureuse quand j’ai maîtrisé les nouages de l’écharpe, de pouvoir enfin faire quelques trucs de ma journée, parce que bébé dormait dans mes bras, et ne tolérait pas que je le pose. Il me semble d’ailleurs que c’est assez courant.
Bon courage.
Je m’engueule aussi parfois au téléphone avec les impôts ou les caisses de pension notamment pendant son sommeil.
(J’adore ton blog en passant ! )
Ceci dit, dans la même réflexion, tu n’imagines même pas comme cela peut être les vacances quand, beaucoup plus tard, tu passes de 3 à 2 à la maison (ou, pied géant, de 3 à 1), le temps de quelques heures ou (paradis) le temps d’un week-end entier…
Les douces joies de la parentalité…
SorG : Certes, mais avant quand ? Parce que pendant la grossesse déjà, c’était bien bien la galère par moments…
oui, la galère. mais une galère plus gérable pendant la grossesse qu’après l’accouchement.
Ceci dit, je ne parle évidemment pas de la période glorieuse de l’Avant avant de ceux n’imaginent même pas les contraintes qu’un enfant engendre (cf. Martine au pays des adulescents bizounoursiens)
En fait dans mon cas, la galère est davantage gérable depuis l’accouchement en un sens.
La fin de ma grossesse était vraiment affreusement pénible et bien plus enfermante que depuis la sortie de monsieur.
Une fois qu’on est parent – j’en ai deux, moi, j’suis folle – on regarde les chiens domestiques d’un autre oeil…
Le truc à éviter surtout, c’est de commencer à se demander quand c’était la dernière nuit digne de ce nom qu’on a connu…